Protéger les salariés face aux nanoparticules de dioxyde de titane

Les personnes pouvant être exposées aux nanoparticules de dioxyde de titane, "soit en tant que professionnels, soit en tant que résidents près d'industries qui produisent, stockent ou manipulent ces nanoparticules, doivent faire l'objet de mesures de protection spécifiques", a estimé le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) dans un avis publié le 25 juin dernier. Ces nanoparticules sont employées dans l'agroalimentaire et les cosmétiques. Leur inhalation "peut provoquer l'inflammation des voies respiratoires et être associée à des maladies pulmonaires", a précisé le HCSP.